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Haute bourgeoisie venue de Langeac, où l'on trouve Annet Croze, notaire royal en 1595 et plus anciennement Jacob notaire en Gévaudan le 10 novembre 1517. Antoine est dit prieur de Monlet près Allègre en 1556, par résignation de Messire Pierre de Saint-Marcel. Fixée au XVIIème siècle à Brioude, où vivait Jean-François-Ignace Croze seigneur du Clos, né le 8 juin 1713, écuyer, conseilles du roi, commissaire des guerres, marié le 22 octobre 1748 à Antoinette Rochette. Jean-François-Joseph, leur fils, receveur du grenier à sel, député de la Hte-Loire au Conseil des Cinq-cents, sous-préfet de Brioude, laissa de son mariage avec Sophie-Julie Mesnard: Jules-Alexandre, auditeur au Conseil d'Etat, préfet des Basses-Alpes, créé baron de Croze sous la Restauration. Un membre de cette famille: Pierre baron de Croze, a été substitué par adoption du 16 mars 1897, aux nom et armes du comte Lemercier, ancien député (dont l'ascendance directe comtait deux pairs de France) et a épousé en 1877, Berthe de la Selle petite-nièce du maréchal de Mac-Mahon duc de Magenta. Sous ce nom on trouve aussi une maison bourgeoise fixée en Auvergne, issue de Jean Croze, notaire royal et bailli de Sereys près St-Jean-de-Nay en 1600. Elle a tenu une place importante dans la ville de Brioude. Filiation suivie depuis: Jean Croze, seigneur de Montbriset, marié le 13 mars 1698 à Jeanne de Vergèzes, dame de Gizaguet. Leur postérité a donné: plusieurs conseillers du roi, présidents de l'élection de Brioude; un inspecteur des gardes bourgeoises du velay (1720), et Julien-Léonard Croze de Montfleury membre du directoire de la Hte-Loire, maire de Brioude (1800-1807), allié à catherine Guyeffier de Longpré. eteinte au XIXème siècle.