Français
Très illustre maison de la Bretagne, d'une haute antiquité, dont les premiers auteurs connus sont: Robert, croisé en 1248 (Chartes latines de 1191 à 1249 relatives aux croisés, provenant du cabinet Courtois); Guillaume, évêque de Léon en 1306, reconstruisit une partie de sa cathédrale, où il fut inhumé en 1327, Tiphaine de Rosnyvinen, dame de Kersauzon, en 1340, aïeule de Jusette, seule et unique héritière de Kersauzon, mariée à Salomon le Ny, chambellan du duc en 1380, veuf de Marguerite de Coëtélez, à condition que les enfants à naitre de ce mariage prendraient les nom et armes de Kersauzon, dont: Hervé le Ny, dit le jeune, seigneur de Kersauzon, marié en 1418 à Marguerite du Carpont; en 1427 à Aliette de Lanroz, veuve d'Alain de Penmarc'h. Du premier lit, Jean, seigneur de Kersauzon, marié à Jeanne de Kerimel, qui a continué la branche aînée, fondue auXVIII siècle dans Tinténiac, et Montbourcher et auteur de seigneurs de Guénan, de Goasmelquin, de Kerjan et du Vijac; et du deuxième lit: Paul, marié à Sybille, dame de Saint-Georges, auteur des seigneurs du Vieux Châtel, et de la Ferrière. La branche de Pennendreff a pour auteur: Guilleume, seigneur de Penhoët, vivant en 1440, père de Guenolé, archer dans une montre de 1481, marié à Catherine de Saint-Goueznou. Jean, prête serment au duc entre les nobles de Léon en 1437; Guillaume et Hamon, sénéchaux de Léon en 1479 et 1595; Yves, archer de la garde du duc en 1488; Jean, homme d'armes sous le maréchal de Rieux, dans une montre reçue à Saint-Quentin en Verman-dois en 1505; cinq chevaliers de l'ordre depuis 1585; Charles, seigneur de Coëtléguer, l'un des signataires de la capitulation des Ligueurs de Léon en 1594; un chevalier de Malte en 1651; un conseiller au parlement en 1696 et un page