Français
On trouve ce nom diversement écrit Marcoux, Marcous ou Marcoulx. Pons, avocat du Roi, en la sénéchaussée de Beaucaire et de Nîmes, fut anobli, par lettres du 22 septembre 1435. Son fils, Jean, licencié ès lois, conseiller du Roi, juge royal de Vivarais et Valentinois, viguier et capitaine de Boucieu, reçut pour le Roi les hommages dûs au paréage de Boucieu. Il était, en 1461, avocat au parlement de Grenoble et fut la tige de deux branches. l'une resta en Languedoc et l'autre se fixa en Dauphiné, vers 1580, dans les environs de Romans, par suite d'une alliance avec la famille Bey ou Bays. Ennemond, eut de DIane de Chaste: Nicolas, sieur du Bey, vivant en 1671; Félicien, sieur de Beys, demeurant à Charmes, fut maintenu dans sa noblesse, en 1699. L. de La Roque, dans l'Armorial du Languedoc, nous donne quelques degrés de la branche du Languedoc, qu'il fait commencer, à Amien, qui fut père de: Alexandre, seigneur du Bay, marié le 16 mars 1516, à Catherine Prelas, dont: Alexandre et Achille-Alexandre, seigneur du Bay, qui épousa Gilette de Hircon, dont: Hector, seigneur du Bay, père de Claude, seigneur du Bay et de Queirac, au diocèse de Viviers, marié le 28 mai 1624, à Suzanne Bordier, dont: Timothée, seigneur du Bay, maintenu dans sa noblesse par jugement souverain du 13 novembre 1669. Nous relevons, dans la Revue du Vivarais, 1907, sous la signature du Dr Francus, les indication suivantes: Pons Marcoulx, probablement le père et le fils, celui-ci juge royal du Vivarais et du Valentinois, en 1459, possédaient une maison à Tournon. Ces deux personnages sont très probablement les mêmes que ceux cités par G. de Rivoire de La Bâtie. Vitalis Marcoux, de la paroisse de la Souche, assigné, le 26 octobre 1697, comme usurpateur des titres de