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Noblesse de chevalerie qui paraît tirer son nom du lieu d'Arlempdes en Velay, mais qui n'en possédait pas le château ni la justice, lesquels ont appartenu de tout temps à la grande maison de Montlaur. Jacques cité dans le cartulaire des Templiers du Puy, vivait l'an 1215. Guillaume Armand vend en 1248 au commandeur des Templiers de la même ville et sous la caution d'Héracle de Montlaur, son seigneur suzerain, les droits qu'il avait sur Vaisseau et Chazeaux en Vivarais. On trouve encore en Velay: Armand (1259); Guillaume, vassal des barons de Solignac (1261); autre Guillaume, fils du précédent (1272); Jean, frère de la léproserie de Brives près Le Puy (1291); enfin, Armand qui rend hommage aux barons de Solignac de diverses terres en 1313. A partir de cette époque deux branches: Hugues, chevalier en 1335, co-seigneurie des Salles, du Bouchet Saint Nicolas, de Cayres la Ville, du Brignon, etc. (1358), marié successivement à Aliénore de la Bauche (en Velay), et à Jarentone de Banne (en Vivarais), d'où: Guillaume qui eut quatre fils: 1° Hugues II déshérité par son père, allié en 1420 à Hélix de Goys dont il prit le nom et les armes (de lui sont descendus les de Goys de Mezeyrac); 2° Jean, chevalier de Saint-Jean de Jérusalem; 3° François, fixé en Dauphiné, dont la descendance a été illustrée au XVIII siècle, par le marquis, célèbre aéronaute, né en 1762. 4° Gabriel, tige des seigneuries de Mirabel en Vivarais, maintenus le 9 juillet 1669. II. Pierre, mentionné en 1332, dans le terrier du chapitre de Saint-Georges du Puy. Sa postérité cessa de vivre noblement et s'agrégea à la bourgeoisie du Puy. Guillaume, notaire, mort en 1513, remplit aussi la charge de juge royal de l'Equivalent et de greffier des Etats du Velay. Cette maison s'est éteinte en