Français
On trouve le blason de cette famille dans l'Armorial de France, registre de Sarlat, sous le nom de Lagrange de Bridat, bourgeois de Montignac. Dans un acte de vente, du 13 mai 1781, Jean Bridat est qualifié marquis de la Pradelie, officier dans le chevau-légers de la garde du Roi, lieutenant-général de la Robe courte de la grande prévôté de l'hôtel de S. M. et grande prévôté de France, habitant en son château de la Pradelie. Messire Jean, écuyer, seigneur de la Pradelie, est dit, dans un traité du 16 septembre 1763, fils, chevau-léger de la garde du Roi, chevalier de Saint-Louis. Ce même Jean, qualifié messire écuyer, seigneur de la Gardie, brigadier de la garde des chevau-légers, fait le 23 mars 1770 aveu et dénombrement, par devant les seigneurs, chevaliers, présidents, trésoriers de France, généraux des finances, juges du domaine et grand doyen de la généralité de Guienne, pour raison de sa maison noble de la gardie, fiefs, cens et rentes en dépendant, paroisse de Léguillac et Mensignac, sénéchaussée de Périgueux, qu'il jouit à titre successif comme héritier de feu Jean de Simon, vivant chevalier de Saint-Louis, chevalier, seigneur de la Gardie, chevau-léger de la garde du Roi, chevalier de Saint-Louis, son oncle. Aux assemblées de la Noblesse de 1789, figure à Périgueux, parmi les votants dans l'ordre, dame Marie-Elisabeth Bridat, veuve de messire Jean-Baptiste Waurillon, chevalier, seigneur de la Bermondie.