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Branche de la Bretagne: Belot, écuyer, donne quittance de ses gages en 1302; Jean, abbé de la Chaume de 1351 à 1374; Jean, sénéchal de Dol en 1513, épouse Jeanne Troullon, dont: Alain, marié à N. du Chastellier, de la maison de Préauvé; Alain, chevalier de l'ordre en 1606. Le seigneur de Belleisle, paroisse de Saint-Suliac, débouté à la réformation de 1670, ressort de Dinan. On remarque (dès le XIIIème siècle) des alliances importantes avec des familles nobles en Bretagne et autres régions françaises. Branche du Périgord: la branche ainée, est-il dit par Saint-Allais et autres auteurs, a possédé de père en fils le comté d'Angoulême, pendant quatorze générations, c'est-à-dire jusqu'à Aimard, mort en 1218, laissant pour héritière sa fille unique Isabelle qui, après la mort de Jean, dit Jean sans Terre, roi d'Angleterre, sire de Lusignan, comte de la Marche. La seconde branche, établie en Périgord dès le XIème siècle, a commencé à Alduin II, comte d'Angoulême, mort en 1302 et a continué la descendance dans la personne de Arnaud de Taillefer, comte d'Angoulême, second fils dudit Alduin. Quelques fortes que soient les présomptions de la descendance de la maison de Taillefer, en Périgord, des comtes d'Angoulême, la filiaiton n'est établie, littéralement jusqu'à nos jours, que depuis Guillaume, chevalier, vivant sous le règne de Saint-Louis, et mort le 18, suivant un acte passé par ses enfants.