Français
Dans l'Armorial de la noblesse du Languedoc, par Louis de la Roque, résulte que une des branches de cette famille, celle de Jonquières fit ses preuves de noblesse pour les écoles royales et figure en 1789 aux assemblées de l'Ordre dans cette province. Également, dans la branche du Périgord, furent faites les mêmes preuves le 31 décembre 1786 pour l'éntrée à l' école de Sorèze d'Antoine et aux États-Généraux de 1789, messire Joseph, chevalier et seigneur de la branche de Plagne du Montet, vota à Périgueux dans l'Ordre de la Noblesse. A la même époque, vota à l'assemblée de la noblesse du Limousin: messire Dominique, chevalier, seigneur de Menzac, Preissac et Logerie, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, capitaine de cavalerie. Il est constaté, par acte de 1757, rendu sur la requête de messire François, écuyer, seigneur de Plagne, du Montet, seigneur vigier des bourgs et paroisses de la Nouailles, Chaux, la Sérise et autres lieux, ancien gendarme de la garde du roi, que les titre et qualité de messire et d'écuyer seraient suppléés, dans le contrat de mariage du feu seigneur de Plagne son aïeul, ensemble sur le registre de la paroisse où son mariage a été célébré et généralement dans tous les actes et copies où ces qualités peuvent avoir été omises.