Cognome

Montardit

Français

Cette maison d'ancienne Noblesse du Périgord, connue dès le Xème siècle, tirait son origine du lieu d'Agonac, où elle possédait un château de son nom, encore existant, que Frotaire évêque de Périgueux, avait fait bàtir en 980, avec trois autres qui entouraient le sien, popur lui servir de défense contre les invasions des Normands qui pillaient et ravageaient le pays. Après ce préambule, la Chenays-Desbois fait connaìtre, pour premier sujet de cette famille, qu'il dit éteinte dans la première moitié du siècle dernier, Hélie, vivant en 1149. La filiation que ce généalogiste en donne, depuis cette date, se poursit jusqu'à Marc-Antoine, chevalier, seigneur de la Beylie mort en 1713, sans postérité. Ce fut un Jean, écuyer, seigneur de la Beylie qui, aidé de quelques catholiques, reprit, en 1581, avec Jean de Chillaud-des-Fieux, la ville de Périgueux, dont les religionnaires s'étaient emparés en 1571. Dans les maintenues de Noblesse par Pellot, intendant de Guienne, figure Jean, écuyer, seigneur de la Beylie.

Ecartelé, aux 1 et 4 , d'or plein; aux 2 et 3, de gueules au chef cousu d'azur, chargé de trois tours d'argent, maçonnées et crénelées de sable.

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